Comment ajouter un utilisateur sur Google Analytics ?

Que ce soit pour suivre les retombées d’une campagne, l’évolution du trafic d’un site ou encore pour améliorer le référencement de ce dernier, l’outil Google Analytics propose de nombreuses fonctionnalités, dont l’ajout d’un ou plusieurs utilisateurs sur un compte.

Cette fonctionnalité permet d’intégrer des membres d’une équipe sur un même compte Google Analytics afin d’optimiser les performances et l’efficacité sur un projet.

Le processus est relativement simple.

utilisateur GA

1 – Techniquement, comment faire ?

Après s’être connecté à votre compte Google Analytics, vous pouvez ajouter un utilisateur. Il vous suffit de cliquer sur l’icône « Administration » situé en bas à gauche de votre page. Par la suite, dans l’onglet Admin, trois colonnes apparaissent avec les intitulés suivants : compte, propriété et vue.

  • Compte :  Représente votre point d’accès à Analytics. Une entreprise peut avoir un ou plusieurs compte Analytics. Il comprend le numéro de votre compte, le nom du compte, le pays où vous exercez votre activité ou encore les options de partage de données. C’est à partir du compte que vous allez pouvoir choisir les propriétés.

COMPTE

  • Propriété : Désigne un site Web, une application mobile ou un appareil. Un compte peut comporter une ou plusieurs propriétés. Lorsque vous ajoutez une propriété à un compte, Google Analytics génère un code de suivi afin de collecter des données à partir de cette propriété. Ce code contient un identifiant unique pour les données provenant de cette propriété. Il vous permet de reconnaître facilement ces données dans vos rapports.

propriété

  • Vue : Constitue votre point d’accès aux rapports. Il s’agit d’une vue définie des données d’une propriété. Par exemple, vous pouvez définir une vue sur un objectif précis, sur les canaux que vous souhaitez, sur des paramètres d’e-commerce (si besoins), etc…

vues

Choisissez l’emplacement de votre choix pour ajouter un nouvel utilisateur. Après cette étape, vous trouverez la catégorie « gestion des utilisateurs du compte » qui va vous permettre de gérer les différents membres que vous souhaitez intégrer à l’outil Google Analytics.

Cliquez sur le bouton « + » en haut à droite pour ajouter un utilisateur.

Enregistrez l’adresse email du nouvel utilisateur et ajoutez-lui les autorisations dont il aura besoin en cochant les cases ci-après.

Lorsque ces étapes ont été réalisés, cliquez sur le bouton « ajouter », en haut à droite.

Félicitations ! Le profil utilisateur a été créé, vous pouvez désormais le retrouver avec les autres utilisateurs ayant accès au compte Google Analytics et voir les autorisations qui lui ont été accordé.

2 – Les différents types d’autorisations

Chaque utilisateur n’a pas les mêmes besoins et donc pas les mêmes droits d’accès. Par conséquent, vous allez accorder des droits différents selon les types de profils et d’utilisation de Google Analytics.

Voici les quatre profils d’autorisation ci-dessous :

  • Modifier : Les utilisateurs peuvent créer et modifier certains aspects du compte comme des propriétés, des vues, des filtres ou encore des objectifs mais ils n’ont pas accès à la gestion des autres utilisateurs.
  • Collaborer : Les utilisateurs peuvent créer et modifier des éléments partagés comme des tableaux de bord ou des annotations.
  • Lire et analyser : Les utilisateurs peuvent consulter les données de rapport et de configuration telles que l’audience, l’analyse du trafic ou encore les retombées des campagnes publicitaires.
  • Gérer les utilisateurs :  Cette fonctionnalité permet d’ajouter, modifier ou supprimer d’autres utilisateurs et leurs autorisations.

utilisateur GA

Il est possible de cocher une seule case, plusieurs, ou toutes les cases si besoin.

Vous pouvez évidemment modifier à tout moment les droits d’accès des utilisateurs (si vous êtes administrateur du compte ou que vous avez le profil « gérer les utilisateurs »).  Pour ce faire, il vous suffit de retourner dans les paramètres du compte Google Analytics concerné, cliquer sur l’onglet « gestion des utilisateurs du compte » et sélectionner l’utilisateur en question. Son profil et sa liste d’autorisations vont apparaitre sur votre écran. Vous pouvez, à ce moment, cocher ou décocher les cases que vous souhaitez.

3 – Ajouter un groupe d’utilisateur

Il est courant d’ajouter tous les membres d’une équipe en même temps. Si vous deviez créer utilisateur par utilisateur, ce serait une perte de temps. C’est pourquoi, Google Analytics est doté de la fonction « ajouter des groupes d’utilisateurs ».

Cette fonction est uniquement réservée aux groupes d’utilisateurs liés à des entreprises Google Marketing Platform.

Prochainement, un article pour vous expliquer ce qu’est Google Marketing Platform.

 

 

 

 

Les principes de base d’un bon référencement – Partie 3

Le référencement sémantique est la base :

Le référencement technique est important : pour optimiser son site web, vous devez entrer dans son code source, examiner les performances de vos serveurs, etc.

Règle n°1 : Noms de domaine et redirection 301

Dans un premier temps, contrairement aux croyances populaires, la signification de votre nom de domaine n’a que très peu d’impact sur le référencement. Le seul avantage de posséder un nom de domaine générique comme par exemple « vtc-paris.fr » est que la Meta Title Google de votre page d’accueil pourrait être « VTC Paris : les meilleurs conducteurs à la demande à Paris ». C’est ce qui apparaît directement dans le résultat Google.  

N’oubliez pas que le premier mot aura plus d’impact aux yeux de Google que le second, et le second que le troisième, etc. De plus, avoir un nom de domaine court est une bonne chose, car ce sont les 65 premiers caractères d’un titre Google qui sont le plus pris en compte.

Mais une fois que vous avez un nom de domaine comme « vtc-paris.fr », je vous conseille acheter ses variantes : sans le tiret, le .com, au singulier et au pluriel… Cela vous permettra d’entraver la concurrence potentielle de montrer à Google que vous investissez dans une meilleure expérience pour les utilisateurs qui tapent la mauvaise URL, en incluant ou non le tiret, par exemple.

Si vous avez plus d’un nom de domaine, choisissez un nom de domaine principal et faites-en sorte que le ou les domaines supplémentaires redirigent vers le site principal. On appelle cela une ‘‘redirection 301’’.

Notez également que l’ancienneté d’un nom de domaine est un critère important pour Google. En effet, lorsque Google indexe votre nom de domaine dans son moteur de recherche, il atteste que ce site est en ligne et qu’il a un contenu pertinent. Donc montrer à Google que votre site est en ligne depuis de nombreuses années revient au même principe que de vous forger une bonne réputation dans votre secteur : les gens vous font confiance et se sentent mieux de vous recommander.

Règle n°2 : effectuez régulièrement des scans sitemap.xml de votre site via votre Google Search Console

Un sitemap est un fichier dans lequel vous pouvez lister les pages web de votre site afin de fournir aux moteurs de recherche des informations sur la structure du contenu de votre site. Les crawlers des moteurs de recherche comme Googlebot lisent ce fichier pour mieux explorer votre site.

Il peut être judicieux de mettre en évidence vos différentes images et créer un plan de site spécifique pour celles-ci, en utilisant les balises d’images suivantes :

<url> : la balise qui inclut toutes les informations sur une seule URL

<loc> : l’URL où se trouve l’image (html)

<image : image> : la balise qui comprend toutes les informations sur une image+

<image : loc> : l’URL de l’image. Notez que cela peut provenir d’un autre champ.

<image : caption> : légende de l’image. Utilisez des termes optimisés pour le référencement.

<image : geo_location> : l’endroit où l’image a été prise (pas toujours pertinent)

<image : title> : l’attribut title de l’image

<image : licence> : URL qui renvoie à la licence de l’image

Règle n°3 : la profondeur des pages de votre site est essentielle

La profondeur des pages d’un site détermine la facilité avec laquelle le moteur y accède depuis la page d’accueil. Les pages stratégiques doivent être accessibles en un nombre minimum d’étapes. Au-delà du 3ème niveau d’accessibilité, c’est-à-dire au-delà de 3 clics, la page est considérée comme difficile d’accès.

Règle n°4 : Personnalisation des pages d’erreur 404

L’optimisation de la page d’erreur 404 est essentielle car elle peut être l’occasion de rediriger les utilisateurs vers des pages stratégiques. Son optimisation peut également contribuer à améliorer l’exploration du site, par le biais de liens vers les principales catégories et à garder l’utilisateur sur votre site.

Règle n°5 : Assurez-vous que le temps de chargement de votre site, sur différents appareils, est rapide

Pour vous assurez que le temps de chargement de votre site est bon, et ce sur différents appareils, utilisez cet outil Google pour l’analyser.

Et attention à la version mobile responsive qui doit être optimisée afin de ne pas charger d’un seul coup tout le site sur un appareil mobile, mais des parties au fur et à mesure que l’utilisateur scroll. Cela évitera un temps de chargement trop long.

Règle n°6 : Optimisez vos images

Bien optimiser vos images vous permettra d’avoir un contenu homogène et de qualité. On est toujours dans l’objectif d’avoir un contenu aussi agréable à lire pour l’internaute qu’optimisé pour les moteurs de recherche.

Elles peuvent améliorer le référencement d’une page web et peuvent aussi être référencées dans Google Image, source supplémentaire de trafic.

Les moteurs de recherche ne savent pas lire le contenu d’une image. De ce fait, chaque image se doit d’avoir une description alternative. L’attribut ALT signale aux moteurs de recherche le contenu de l’image auquel il est rattaché. Faites donc des descriptions courtes et comportant si possible les mots-clés.

On vous met à disposition nos outils pour optimiser vos images. Utilisez cet outil pour les JPG, celui-ci pour les PNG et celui-là pour les PDF.

Règle n°7 : Javascript, c’est comme courir en portant un canapé.

Lorsqu’un navigateur web rencontre du code Javascript en interprétant le code source d’une page web, cela peut considérablement ralentir l’affichage de la page, surtout si le téléchargement d’un script externe est nécessaire. Évitez autant que possible l’utilisation de Javascript pour assurer un affichage rapide de la page.

Comment ? Si possible, utilisez l’une des techniques suivantes pour faire appel à des fichiers externes :

  • utilisez l’attribut async 
  • utilisez l’attribut defer
  • ajoutez le script dans le DOM en Javascript pendant l’événement onload

Pensez bien à placer les scripts à la fin de votre code source et idéalement à la fin du <corps>.

Règle n°8 : utilisez l’attribut hreflang pour indiquer à Google la langue de votre site

Cet attribut vous permet d’adapter votre page en fonction d’où se trouve la personne qui la consulte. Cette fonction sert à rediriger les internautes vers la version linguistique la plus appropriée. Cela peut être utile pour toucher des prospects à l’étranger mais attention à avoir les compétences pour répondre à leurs besoins. En effet si la page sert au e-commerce par exemple vous pourrez avoir des demandes de différents pays auxquels vous devriez être en mesure de faire face.

Règle n°9 : Assurez-vous que chaque élément CSS utilise son propre identifiant

Pour rappel le CSS signifie feuille de style en cascade (cascading style sheet).

L’utilisation du même identifiant pour deux éléments CSS différents peut entraîner des effets de bord, en particulier lors de l’exécution de Javascript ou de l’application de règles CSS.

Que faut-il faire ? Assurez-vous que rien sur la page n’a le même identifiant. Si vous souhaitez partager des propriétés/comportements entre plusieurs éléments, vous devrez utiliser la classe d’attributs :

<p> <span class = « mySpans »> </ span> <span class = « mySpans »> </ span> </ p>

Règle n°10 : Indiquez vos microdonnées !

Pour la visibilité, vous devez indiquer vos microdonnées, elles sont très importantes pour le référencement : https://schema.org/

Elles aideront Google à identifier votre organisation et votre entreprise et vous permettront d’obtenir des « rich snippets » dans les résultats de Google.

En général, les microdonnées sont utiles pour classer votre activité en fonction de la bonne volonté de Google, favorisant ainsi votre visibilité dans les SERP.

 

Vous pouvez utiliser cet outil pour analyser votre utilisation des microdonnées sur votre site.

Le balisage de schema.org est facile à mettre en place. Un outil existe dans la console de recherche, mais rien n’est plus fort que le code, d’autant plus qu’il est très simple à mettre en place.

Par exemple, pour marquer un hôtel :

<div itemscope itemtype = « http://schema.org/Hotel »> <span itemprop = « name »> Nom de l’hôtel </ span> <span itemprop = « description »> description de l’hôtel </ span > <img itemprop = « image » src = « http : //Images/hotel.jpg » /> </ div>

Schema.org change la donne, je vous le promets.

Organiser une page

  •   Pour les moteurs de recherche le début d’une page web à plus de poids que sa fin. Il faut donc organiser ses contenus stratégiquement pour que les mots-clés sur lesquels vous souhaitez vous positionner apparaissent en haut de page.
  •     La mise en gras (STRONG) doit se faire de manière modérée afin de faire ressortir les mots ou expressions importants pour votre référencement.
  •     Les balises H1 à H6 sont probablement les plus importantes de l’ensemble du texte d’une page web. La balise H1 (une par page) est celle qui a le plus de valeur pour le référencement. Pour les moteurs de recherche, les balises H1 à H6 n’ont pas toutes la même influence. Les balises H1, H2 et H3 ont une véritable influence sur le référencement. Au-delà elles ont un rôle esthétique et ergonomique.

La balise title

80% du référencement d’une page est représenté par cette balise, d’où sa grande importance. Unique, elle ne se voit pas dans une page mais les mots-clés insérés sont ceux que les moteurs de recherches reportent systématiquement dans leur index pour l’affichage de ses résultats.

Optimisation de la balise TITLE

  •     Une balise TITLE différente par page. La balise TITLE doit refléter le plus possible le contenu de la page.
  •   Une balise TITLE n’est pas une succession de mots-clés en rapport avec votre activité mais une phrase attractive et « accrocheuse » contenant des mots-clés ciblés. Il faut donner envie à l’internaute de cliquer.
  •   La balise TITLE doit contenir obligatoirement vos mots-clés les plus importants avec un sens d’importance de gauche à droite par rapport au sens de lecture des moteurs de recherches.
  •   STRUCTURE : « phrase (avec mot-clé) + nom du site »
  •   La balise ne doit pas comporter plus de 65 caractères environ.

Les principes de base d’un bon référencement – Partie 2

Les bonnes pratiques pour optimiser son référencement :

1- Utiliser les outils Google

Pour commencer, connectez votre site aux outils Google. Google met à votre disposition plusieurs services pour vous aider à optimiser votre site web. Chez Tamento, lors de la mise en ligne d’un site nous connectons votre site sur Google Analytics & la Search console.

Vous pouvez également ajouter Google My Business à la liste.

Ces outils vont récolter et analyser les données de votre site pour ensuite vous classer dans les résultats des requêtes qui vous correspondent.

Google analytics : C’est un outil d’analyse d’audience (nombre de visiteurs, données démographiques et géographiques, source du trafic…)

Search Console : C’est un outil qui permet de vérifier l’indexation d’un site web sur Google. Google scanne le site et le référence dans ses résultats de recherches.

Google My Business : C’est un service qui vous permettra de contrôler les informations sur votre entreprise, sur les résultats Google (adresse, contact…). Votre compte Google My Business bien complété vous permettra d’être référencé dans les résultats de recherches géolocalisés.

2- Site mobile-friendly

Regardez autour de vous, dans les transports, dans la rue… les gens sont sur leur smartphone. Si vous n’avez pas de version mobile, allez en créer une. Google a déjà commencé à rétrograder les sites qui ne le sont pas.

3- Sécurisez votre site avec un certificat SSL (de http à https)

De plus en plus de navigateurs comme Google Chrome bloquent les sites en http, qu’ils considèrent comme peu sûrs. Vous devez donc disposer d’un certificat SSL pour sécuriser votre site sinon vous vous apercevrez rapidement que vous n’êtes pas référencé dans Google. C’est une certification de sécurité pour votre site internet. Et on vous en met un gratuit ici !

4- La vitesse de chargement des pages 

Récemment, Google a commencé à mettre BEAUCOUP plus l’accent sur la vitesse de chargement des pages, plus encore que sur un code « propre » ou de bons serveurs. Alors vous pouvez commencer par compresser les images de chaque page, par exemple en utilisant des outils comme Recompressor, TinyPNG afin de rendre le chargement de vos pages plus rapide.

5- Bien choisir le nom de domaine de son site

D’abord, idéalement, choisissez 3-4 mots et allez à l’essentiel en supprimant les articles. Ensuite, pensez au raccourci que l’utilisateur utilisera pour faire une recherche dans Google. Par exemple si offrez des services dans le domaine du mariage et que le lien de votre site est yourstartupwebsite.com/wedding-planning-tips, pensez à des mots clefs tels que : « wedding planning tips » pour correspondre et être trouvé le plus facilement possible. Là encore, le premier mot aura plus de poids que le second, le second plus que le troisième, etc.

6- La ligne de flottaison

Google est vraiment attentif au comportement des utilisateurs sur les pages. Ces derniers « scroll » rarement, c’est juste un fait. 

Une très bonne façon de progresser dans le classement Google, est donc de placer un maximum de contenu de qualité au-dessus de la ligne de flottaison c’est-à-dire sur le morceau de la page que les utilisateurs voient à première vue, étant donné que rares sont ceux qui scroll.

Par exemple votre H1, un texte descriptif, une image, votre H2 et un bouton de ‘’call-to-action’’, tout cela au-dessus de la ligne de flottaison. Ce ne sera pas forcément très beau, mais ça marche très bien. 

Bien placé son contenu pertinent au dessus de la ligne de flottaison Tamento

Attention aux templates WordPress ! Ils sont souvent incompatibles avec le référencement SEO car il y a trop d’espacement entre les différents contenus de la page.

7- Attention au duplicate content

Veillez à ce que chaque page ait un contenu différent pour tous ces éléments : Meta Title Google, Meta Description Google, H1, H2s, contenu de la page. Et surtout, ne volez jamais le contenu d’un autre site. Google date chaque nouveau contenu qui apparaît sur le web, alors prenez garde si vous voulez être bien référencé. 

Tout contenu web en double est susceptible de subir une pénalité appelée “duplicate content”.

Les moteurs de recherche veulent diversifier autant que possible les pages web proposées dans leurs résultats de recherche. Pour ce faire, ils veillent à supprimer de leurs résultats les contenus en double.

Les moteurs de recherche considèrent comme étant du duplicate content :

– Une ou plusieurs de vos pages web sont identiques ou très proches

– Une de vos pages web est identique ou très proche d’une page d’un autre site web.

L’inconvénient du duplicate content, c’est de ne pas être du tout apprécié des moteurs. Le risque est donc d’être désindexé ou mal positionné dans les résultats des recherches. Le problème ne se pose généralement pas sur les sites multilingues.

 

Une note à propos du blogging

Aujourd’hui, les blogs sont une pratique marketing courante, mais ils restent surtout la meilleure stratégie de référencement SEO pour les startups.

En effet, presque toutes les startups ont une problématique de référencement SEO. Lorsqu’elles construisent leur site web, elles doivent d’abord se concentrer sur leur proposition de valeur, leur identité graphique et leur argumentaire de vente pour convaincre leur clientèle cible et enfin leur UX c’est-à-dire la conception de l’interface, qu’elle soit pratique et fluide et l’UI que l’interface soit esthétique.

Et la plupart du temps, ces éléments ne collent pas avec les standards d’optimisation SEO. Ou du moins, pas avec un référencement naturel dans Google digne de ce nom.

Pourquoi ? Pour ne donner qu’un exemple, une bonne pratique de référencement consiste à s’assurer que toutes vos pages sont accessibles en un minimum de clics, depuis toutes les pages de votre site. Et cela colle rarement avec une bon UI/UX. 

Néanmoins, les startups dans le domaine du e-commerce rencontrent moins de problèmes avec cette règle SEO que les autres startups car elles classent souvent leurs pages dans des catégories/sous-catégories avec des menus déroulants.

Dans ces conditions, je vous conseille de vous concentrer sur la production de contenu, intensément si possible, sur une courte période de temps.

Je dois vous avertir : les sujets des articles de blog vous sembleront vraiment ennuyeux. C’est normal ! Vous écrivez pour Google, pas vraiment pour apporter beaucoup de valeur aux utilisateurs. (Mais ne vous inquiétez pas, ils ne lisent que les titres/sous-titres & ne regardent que les images.)

Donc si vous offrez un service dans le domaine du mariage, un bon article pourrait être « Organisation de mariage : 5 choses dont vous DEVEZ vous souvenir pour le grand jour ! ». Grâce aux mots employés dans cet article, votre blog sera mieux référencé par Google.

Une des meilleures pratiques en matière de référencement d’articles de blog est d’utiliser la technique des « Tops ». Par exemple un article : « Top accessoires pour chiots : jouets, croquettes, friandises… ».

Plus qu’un titre ‘’clickbait’’, les utilisateurs cliquent souvent sur ce genre d’URL après une recherche parce qu’ils sont convaincus que quelqu’un s’étant posé les mêmes questions qu’eux, a cherché, trouvé et classé les meilleures solutions à leur problème. 

Les gens passent également plus de temps sur ce type de pages parce que l’information y est organisée et architecturée.

En ce qui concerne le rythme de rédaction, si vous créez une start-up, il y a de fortes chances que vous ayez mieux à faire que d’écrire du contenu toute la journée. Voici donc la marche à suivre :

  • Trouver une plateforme d’écrivains indépendants comme Fiverr ou UpWorkpar exemple.
  • Sélectionnez 3 à 5 rédacteurs web, et assurez-vous qu’ils sont spécialisés dans l’écriture SEO ! Attention, la rédaction d’articles de blog pour influencer est une chose différente de la rédaction d’articles de blog pour le référencement SEO.
  • Demandez-leur d’écrire le même article de blog
  • Lorsque vous recevez leurs travaux, lisez-les tous et ne publiez que le meilleur
  • Puis, continuez à travailler avec ces freelances

Sinon, j’ai créé un service qui répond parfaitement à ce besoin : www.SEOsecret.co. Des contenus optimisés Google SEO, à l’échelle et à prix abordable ! 

Note : si vous avez déjà un blog Medium, conservez-le pour écrire du contenu d’influence. Pour le contenu ciblé sur le référencement SEO, créez un blog dédié comme yourstartupwebsite.com/blog ou blog.yourstartupwebsite.com. ???

Les principes de base d’un bon référencement – Partie 1

Dans cet article, vous apprendrez pourquoi et surtout comment travailler le référencement naturel et gratuit (SEO) de votre site web. Référencement sémantique, utilisation de mots clés, structure des pages, rédaction web… D’un site à l’autre, la stratégie sera différente. Il faut prendre en compte plusieurs critères comme : le secteur d’activité ou encore vos cibles.

Quel type de formation choisir ?

Dans le contexte actuel, nous cherchons à occuper notre temps (si vous êtes en chômage partiel, bien sûr !), à mettre à jour nos compétences, à dynamiser notre carrière professionnelle, à acquérir de nouvelles connaissances ou tout simplement à changer d’emploi… C’est l’occasion ou jamais de nous remettre sur pied et de consolider nos acquis ou d’en créer de nouveaux.

Il existe aujourd’hui 3 types de formation différents, mais laquelle vous convient le mieux ?

Les 3 types de formation qui existent aujourd’hui :

  • La formation qualifiante
  • La formation certifiante
  • La formation diplômante

1 – La formation qualifiante

La formation qualifiante permet de développer ou d’actualiser ses compétences afin de s’adapter aux nouveaux outils du monde du travail.

Cette formation se déroule de quelques heures ou jours à quelques mois dans un organisme de formation ou en interne dans votre entreprise par un centre de formation, elle est intensive afin d’être rapidement opérationnels.

Si vous êtes salarié, indépendant ou demandeur d’emploi, elle vous permettra de bénéficier de compétences additionnelles, de renforcer vos points forts, de vous placer en situation favorable pour une évolution ou une reconversion professionnelle et d’élargir votre recherche d’emploi.

En interne ou au sein d’un organisme, chaque organisme propose différentes formules par secteur (modules longs, courts, cours d’été, cours du soir, formation à distance, etc.) pour répondre à vos besoins, vos attentes et votre disponibilité.

Aucun diplôme ou titre ne sera délivré à l’issue de cette formation, mais un certificat de stage ou d’aptitude vous sera remis, ils valideront votre formation et les compétences acquises au cours de celle-ci.

2- La formation certifiante

Cette formation vous permet d’obtenir un certificat de qualification spécifique à une branche professionnelle (CPQ). Elle est reconnue dans toute la France. La valeur de la formation est souvent indiquée par des normes (ISO, AFNOR…).

Elle est destinée aux adultes en activité. Ces certifications sont classées de I à IV du plus haut niveau au plus bas niveau de responsabilité professionnelle.

Il existe 3 catégories de certificats :

  • Les diplômes délivrés par l’État (via les ministères)
  • Les titres professionnels inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP), délivrés par les établissements de formation : il s’agit d’une attestation émise par le Ministère de l’Emploi, c’est la preuve d’avoir suivi une formation qui lui a permis d’acquérir des compétences et qualifications spécifiques dans le cadre de ses activités professionnelles. Il y en a plus de 300 dans le Répertoire national des certifications professionnelles.
  • Les certificats de qualification professionnelle (CQP) : il s’agit d’une certification spécifique à la branche professionnelle dans laquelle le certificat a été créé, et qui est reconnue par les entreprises du secteur. Il ne s’agit pas d’un diplôme puisqu’il n’est pas reconnu par l’État, mais par le monde professionnel. Il permet la reconnaissance des qualifications et des compétences spécifiques à un métier.

3- La formation diplômante

Cette formation se déroule dans une école, une université ou un centre spécialisé. Il s’agit d’une formation de longue durée qui s’adresse aux personnes souhaitant se reconvertir et obtenir un diplôme.

La formation diplômante permet d’obtenir un diplôme reconnu par l’État. Du CAP au Master professionnel. Ces diplômes sont classés selon 2 critères : le nombre d’années d’études, et le niveau de celles-ci.

Chez Tamento, nous proposons des formations qualifiantes et des formations certifiantes

Elles sont toutes dispensées par nos experts qui sont des professionnels formateurs (et non des formateurs professionnels !). C’est-à-dire que nos formateurs sont des experts dans leur métier, et toutes les formations qu’ils dispensent sont leur travail quotidien.

Dans toutes nos formations, il y a des exercices pour vous mettre en situation et tous ces exercices sont basés sur des cas réels rencontrés au cours de leurs différentes expériences.

Et pour les formations certifiantes, nous sommes centre de certification PCIE-ICDL, ce qui nous permet de vous proposer des certifications autour des thématiques du marketing numérique ou de la création de site internet.

Découvrir notre catalogue formations

7 tendances graphiques pour votre logo en 2020

Nouvelle année, nouvelles tendances graphiques & colorimétriques pour 2020. Dans cet article, nous vous proposons un récapitulatif des inspirations graphiques qui vous seront utiles pour surfer sur la tendance 2020.

En bas de l’article, retrouvez une infographie à télécharger gratuitement. Elle pourra vous servir de mémo lors de vos créations graphiques ou pour la préparation de vos briefs.

1. La couleur

L’institut de couleur Pantone a révélé il y quelques semaines LA COULEUR de l’année 2020, le PANTONE classic Blue : “Inspirant la sérénité, la confiance et le partage, cette teinte de bleu immuable souligne notre désir de bases fiables et stables sur lesquelles bâtir au seuil d’une nouvelle ère.”

Cette teinte de bleue, à la fois classique, apaisante et lumineuse est un atout pour vos créations web et print. Elle peut servir de couleur de “base” que vous pourrez associer à une couleur plus dynamique, punchy qui créera le contraste et dynamisera l’ensemble de votre création. L’institut de couleur pantone propose plusieurs palettes de couleurs complémentaires que vous pouvez utiliser avec ou sans la couleur de l’année.

Globalement, les teintes complémentaires sont dans des tonalités naturelles, douces où au contraire plus vives pour créer du contraste.

2. La simplification

En 2020, on modernise les lignes graphiques des logos. On favorise les traits épurées, les formes simples, claires et nettes. Le minimalisme fait son grand retour en envoyant valser les éléments superflus et laissant place à la simplicité.
Votre objectif : créer un logo le plus intemporel possible, lisible sur multi-supports (pour un site web responsive comme une affiche), facilement déclinable et adaptable.

Des logos “emblèmes” 

Quand on dit “logo emblème”, on imagine un logo en forme de badge ou d’écusson. C’est bien ça, une symbolique et un design traditionnel que l’on aura re-modernisé. Cette forme de macaron, un peu comme un tampon que l’on appose sur nos documents, va venir donner force et caractère à votre image de marque. Garder l’essentiel des codes de l’emblème en simplifiant le design.

4. Des associations de typographies

En 2020, osez les contrastes en combinant des typographies aux styles très différents.

On casse par exemple le côté “rigide” d’une typographie sans sérif avec une baseline manuscrite. Soyez créatifs en juxtaposant des typographies très différentes et donner du dynamisme et du mouvement à vos logos.

5. Les dégradés

Si vous souhaitez dynamiser et donner de la force à votre logo, vous pouvez conserver l’esprit minimaliste de la composition et de la typographie en ajoutant de l’originalité avec un dégradé de couleur. Pour conserver une harmonie des couleurs, choisissez une couleur et travaillez sur des nuances proches, vous éviterez l’effet arc-en-ciel.

6. Jeux de lettres & de typographies

Pour cette nouvelle année, la tendance 2020 est aussi aux jeux de typos et de lettres.

Vous pourrez jouer avec les lettres, les allonger, en enlever des morceaux ou encore assembler deux lettres… Laissez libre court à votre créativité en bousculant subtilement l’harmonie d’une typographie pour en moderniser le style.

Autres éléments typographiques mis à l’honneur en 2020 : les caractères spéciaux. À utiliser avec parcimonie, vous pourrez ajouter un > pour ajouter du dynamisme ou encore un & pour une forme plus poétique et graphique.

Les jeux de typographies offrent de grandes possibilités de créations. Pour vos designs de logos, vous pouvez aussi contrebalancer la tendance en mélangeant les lettres, en les dé-structurant, ou en mélangeant les mots et la composition de votre logo. Détournez l’usage des lettres en les utilisant pour créer, par exemple, un pictogramme qui illustre votre activité.

L’usage de la géométrie dans la composition de votre logo vous donnera aussi de multiples possibilités graphiques en combinant structure et équilibre, et dynamisme et originalité. On donne du rythme à la composition du logo.

7. Des logos avec un élément en 3D

Les logos aux formes géométriques étaient déjà tendances en 2019. En 2020 la tendance évolue. On garde la géométrie et on y ajoute de la 3D. On donne à nos designs du volume, de la profondeur mais aussi plus de complexité. Jouez sur les perspectives et les illusions d’optiques pour capter l’attention de vos clients. La 3D, peut donner une dimension très moderne et technique pour des logos dans les secteurs de l’innovation ou de la technologie par exemple.


Maintenant vous savez tout des tendances graphiques pour votre logo en 2020. En résumé, on peut dire que pour cette nouvelle année les maîtres mots sont “minimalisme, géométrie et jeux de typos”. Appuyez vous des tendances qui vous parlent pour vos briefs créatifs. Surfez sur la tendance c’est s’inscrire dans son époque, tout en gardant en tête que le plus important c’est d’avoir un logo qui vous ressemble et qui vous parle.

 

Les 4 composantes d’une liste de requêtes

Les requêtes sont les questions que posent les internautes aux sites de recherche comme Google (mais également d’autres sites, voir notre article sur ce sujet).
Si vous souhaitez apparaitre en bonnes positions pour vos internautes cibles, vous devez connaitre qu’elles sont leurs questions.

“ On ne peut pas donner la bonne réponse si on ne connait pas la question ”

Le référencement ne se fait pas que sur Google

La première utilisation d’internet est la recherche (information, produit ou service).
Même si Google est l’outil numéro 1 utilisé en France, les utilisateurs recherchent aussi directement sur d’autres sites : Amazon pour un produit, Airbnb ou Booking pour une location, Pages Jaunes pour un artisan, Doctolib pour un médecin, YouTube pour une vidéo, LinkedIn pour une personne, Le Bon Coin pour une annonce, etc…
Faire du référencement en 2019 ne se limite plus à Google.
En fonction de votre offre, vous devez optimiser vos positions sur les sites de recherche utilisés par vos internautes cibles.

Qu’est-ce que l’Account Based Marketing ?

Si le marketing traditionnel était axé sur le volume et l’attrait de masse, le marketing digital se définit par la personnalisation et la précision. Les marques ne veulent pas perdre du temps et de l’argent en marketing avec des consommateurs qui ne s’intéressent pas à leur entreprise.

Au fur et à mesure que le marketing digital évolue, cette évolution vers la précision devient de plus en plus flagrante.

L’Account Based Marketing (ABM) est une stratégie de marketing vers un ensemble précis de comptes cibles.

Les alternatives gratuites à Google Maps

Rassurez-vous, si vous utilisez Google Maps pour trouver le fleuriste le plus proche ou comme GPS à pied ou en voiture, rien ne change pour vous. En revanche, c’est très différent pour tous les professionnels du web.

 

Depuis le mois de juin 2018, la politique tarifaire de Google a bien changé. Le service Google Maps, gratuit à son origine était déjà devenu payant en 2015 pour les très gros utilisateurs. À l’époque déjà, certains avaient vu venir la situation actuelle. En effet, dès le mois de juin 2018, Google a annoncé ses nouveaux tarifs et ils changent la donne. Alors qu’en 2015 chaque site pouvait faire appel à ses API 25 000 fois par jour gratuitement, voilà qu’en 2018 ce nombre d’appel gratuit est devenu un avoir de 200$ offerts par mois ! De plus, le service est accessible uniquement une fois que vous aurez ajouté un moyen de paiement. Cela “au cas où” vous dépasseriez l’usage offert par Google. Les usages supplémentaires vous seront alors facturés, immédiatement et sans avertissements.

>Les nouveaux tarifs de Google Maps en détails

Plus simplement, tous les appels à toutes les fonctionnalités de Google Maps sont facturées, mais vous bénéficiez d’un avoir de 200$/mois (non cumulables) pour utiliser ces services. Au delà, les appels sont facturés en fonction des fonctionnalités utilisées. Vous serez facturés directement, grâce au moyen de paiement préalablement renseigné au moment de la création de votre compte Google Maps, si vous dépassez l’avoir de 200$ accordé pour chaque mois. . Face à cette situation Google vous propose un simulateur pour estimer les coûts de l’utilisation de Google Maps avec ce nouveau barème tarifaire.

>Le simulateur de coût de Google Maps

Entre hausse de 500% de certains tarifs et baisse du quota de gratuité de 96%, c’est une véritable révolution pour les professionnels du web. Pour faire face à cette nouvelle situation, nous avons sélectionnés des alternatives gratuites (ou presque) à Google Maps.

 

Les alternatives à Google Maps

Avant de parler des solutions existantes, il faut rappeler un point important. Ces services coûtent cher à développer, optimiser, maintenir et mettre à jour. Ainsi de nombreux observateurs estiment qu’envisager encore une solution entièrement gratuite est un leurre. De là à dire que Google a depuis des années créé une solution à très bas prix pour décourager la concurrence, il n’y a qu’un pas que nous ne franchirons pas.

Penchons nous maintenant sur les solutions existantes pour remplacer Google Maps sur vos sites.

 

IGN – Géoportail

L’acteur français historique de la cartographie s’invite sur votre site web. Si le style des cartes n’est pas personnalisable, les tarifs sont intéressants avec des prix dégressifs gratuits jusqu’à 2 millions de transaction en B2C et 10 000 en B2B. De plus, avec l’IGN ce sont des cartes régulièrement mises à jour et un graphisme connu de tous les français.

Jawg.io

La start-up française de cartographie s’appuie sur les bases de Open Street Maps (voir plus bas) et propose un service ultra personnalisable totalement en français. Un service allant du simple fond de cartes au calcul d’itinéraire avec un style personnalisable pour l’intégrer au mieux sur votre site web.

Mapbox

Solution de mapping américaine, elle propose, comme Jawg.io, de nombreuses fonctionnalités et personnalisations pour correspondre au mieux à vos besoins.

Here

Solution américaine qui dispose de ses propres cartes. Leur particularité réside dans le fait qu’ils proposent des solutions assez innovantes basées sur la collecte des datas depuis de nombreux objets connectés.

Open Street Maps

C’est la seule et unique base de mapping open source au monde. Une sorte de wikipedia de la cartographie. Le service est aujourd’hui complètement gratuit et assuré par de nombreux bénévoles et les données stockées sur des serveurs donnés ou prêtés à titre gracieux.

En revanche, si demain, tout le monde quittait Google Maps pour utiliser cette application, celle-ci ne serait, à ce jour, pas prête à accueillir tout le trafic.

 

Avec ces changements, cela offre la possibilité à des applications alternatives de se faire connaître. Cependant, la cartographie de Google équipe déjà une large majorité des sites web, dont les plus influents. Ces hausses tarifaires suffiront-elles à redistribuer les cartes ? Seul l’avenir nous dira qui continuera d’aiguiller les internautes dans la bonne direction.

Google Actualités : Les critères de référencement Google News en 2018

Google Actualités est un service d’actualité en ligne. Il s’adresse aux personnes souhaitant rester informé de l’actualité en continu. Pour avoir une chance d’être référencé sur ce service, voici une liste des sources ou site éligibles :  

  • Communiqué de presse
  • Contenu d’opinion
  • Blog
  • Satire

Avoir un article de blog publié sur Google Actualités est un levier d’acquisition de trafic très puissant qui peut être bénéfique à tout votre site web. Voyons comment maximiser vos chances pour atteindre le graal en apparaissant dans le fil d’actualité de Google.

Qu’est-ce que Google Actualités ?

Aussi appelé Google News, Google Actualités est un service en ligne gratuit proposé par Google. Comme son nom l’indique, il rassemble dans un film toutes les actualités et les classe par thématiques. Les robots de Google indexent les nouveaux articles dans la base de données du moteur de recherche. Ensuite, il les sélectionne, à l’aide son algorithme, pour afficher les plus pertinents pour vous transmettre les dernières actualités.

 

Comment fonctionne Google Actualités ?

Ce service vous permet de bénéficier d’un fil d’actualité récent et actualisé par Google toutes les 48 ou 72h. Grâce à ce service, Google vous apporte de l’information fraîche issue de diverses  sources sur des sujets variés jugés pertinentes par les Googlebots. Ces robots index les sources éligibles dans sa base de données puis classe les sources selon :

  • La date de création
  • La notoriété du site qui écrit l’article
  • La pertinence de la réponse apportée à l’internaute

Comment apparaître sur Google News ?

Vous souhaitez voir les articles de votre site apparaître sur le fil d’actualité de Google News ? Voici ce qui est important à savoir pour qu’un article de votre site puisse être publié dans Google Actualité et ainsi accroître considérablement votre trafic.

Pour bénéficier de cette visibilité supplémentaire, Google met en place une procédure aux codes inamovibles qu’il va vous falloir respecter pour avoir une chance d’apparaître sur ce fil d’actualité tant convoité.

Étape 1 : Proposer votre candidature à Google News par un formulaire

Vous pouvez soumettre vous site à Google via le lien suivant : Formulaire Google News.

En cas de refus, vous recevrez un mail et vous pourrez réitérer votre demande 60 jours après, tout en corrigeant les points bloquants précisés par Google lors de son refus.

Pour que votre site soit éligible, voici les critères à prendre en compte :

  • Votre contenu doit être uniquement dédié à l’actualité et au format HTML seulement.
  • Le site sur lequel l’article est publié doit contenir une partie sur l’actualité.
  • L’article doit être de qualité et authentique (toute technique de tromperie des moteurs de recherche est sanctionnée). Son contenu doit être unique et original. Votre site doit être sécurisé et être conforme au protocole HTTPS.
  • Il est recommandé de publier fréquemment des contenus de qualité sur l’actualité pour être pertinent aux yeux de Google.
  • Pour être admis à la soumission, votre site doit avoir un sitemap adapté pour Google Actualités. La sitemap représente l’ensemble de vos pages sous forme de cartographie.
  • Votre contenu doit être aéré, agréable à la lecture et irréprochable au niveau de l’orthographe et de la grammaire.
  • Google impose certaines contraintes sur les URLs. Celles-ci doivent être claires et compréhensibles par l’internaute. Chaque article doit détenir sa propre URL.
  • Le titre H1 doit correspondre à 100 % à la balise Title.
  • Le format AMP (Accelerated Mobile Pages) est fortement privilégié sur Mobile. Ce terme désigne des pages web au chargement quasi instantané sur mobile. Avoir le label AMP est donc conseillé pour apparaître sur mobile.

Si votre contenu est éligible, il sera présent dans l’index de Google Actualités et pourra être sélectionné et associé à une thématique précise. Un contenu éligible respecte l’ensemble des critères énoncés précédent. Nous allons voir par la suite que les contenus présents dans l’index de Google sont classés par son algorithme.

Voici les erreurs à ne pas commettre sur vos pages pour préserver les chances de votre contenu d’être diffusé sur Google News :

  • Les pages répertoriant plusieurs actualités sont sanctionnés par les crawler de Google Actualités. Pour Google, une page doit correspondre à une idée, donc une seule actualité doit représenter une page.
  • Chaque sous-domaine doit être suggéré un à un au formulaire Google actualité.
  • Vos pages doivent contenir une seule et même langue. Si votre site est multilingue, vous devez insérer une balise hreflang dans la search console de Google pour éviter toutes sanctions.
  • Les pages comprenant des images non optimisées nuisent à votre référencement sur Google Actualités. Vos images doivent être optimisées aux formats GIF ou JPEG avec les attributs height, width et alt renseignées. Le format PNG ne permet pas d’avoir une vignette illustrant votre article.
  • Un faible balisage (H2, H3) de vos pages nuit aussi à votre indexation.

Si votre site respecte l’ensemble des règles citées précédemment, les robots d’indexations de Google vont indexer votre site dans la base de données de Google Actualités.  Cela ne veut dire qu’il peut potentiellement être diffusé.

Étape 2 : La classification des articles présents dans l’index de Google

Une nouvelle fois, Google doit faire le tri parmi de nombreux articles traitant d’une même thématique. Voici quatre critères principaux qui influent sur la classification de vos sources :  

  • Le niveau de pertinence de l’actualité.
  • La notoriété de la source. Plus votre site est populaire et plus vous aurez de chances de remonter sur une actualité tendance.
  • Le taux de réactivité à l’actualité suivant l’heure et date de mise en ligne de votre news.
  • La comparaison du flux d’information selon les différents articles du même sujet.

D’autres critères sont aussi à prendre en compte afin de mettre toutes les chances de votre côté pour la diffusion de votre source :

  • Indiquez la rubrique de votre article pour permettre au Googlebot de le classer selon une thématique précise.
  • Google privilégie les sites d’actualités qui mettent en avant leur rédacteur. Cela permet à ses robots de vérifier les activités du rédacteur et  l’ensemble de son travail. Si votre site ne met pas en avant ses rédacteurs, nous vous conseillons de créer une biographie de ces derniers avec leur réseaux sociaux.
  • Plus votre contenu à un CTR (taux de clic) et un taux de partage sur les réseaux sociaux élevés, et plus les Googlebots accorderont de l’importance à votre site web.
  • La balise méta keyword a son importance pour Google Actualités. Cela lui permet de mieux comprendre votre sujet.

« Il est important de savoir que la densité de votre contenu ne fait pas le positionnement de votre l’article. »

Google actualité est un média présentent de nombreuses règles strictes à respecter. En cas de sélection par l’algorithme Google News, votre article pourra accroître son trafic jusqu’à 30 %. Vous pouvez, à l’aide d’un bon maillage, faire remonter certaines de vos URLs, ce qui est profitable à votre site. Avec un taux de search de 51 % sur mobile et la constante augmentation des visites depuis ce device, Google cherche toujours à satisfaire pleinement l’utilisateur.

Vous souhaitez parfaire votre écriture et vous adapter aux règles du web et de sa charte éditoriale ? Nos experts mettent à votre disposition leurs compétences et astuces pour vous aider à construire une stratégie de contenu adéquate.

Vous souhaitez accroître le trafic de votre site ? N’attendez plus et profitez de notre formation Rédaction Web dispensée par nos experts.

 

WORDPRESS : Comment préparer son site en cas de cyberattaques ?

Chaque jour des milliers de sites sont touchés par des cyberattaques. WordPress est devenu avec le temps l’un des CMS les plus répandu sur le web, et de ce fait, un des systèmes les plus touché par les pirates. Attention par plus « ciblé » il ne faut pas entendre moins sécurisé ou performant. Pour la majorité des piratages le problème ne vient pas du CMS en lui-même mais de la maintenance faite par les administrateurs du site : paramétrage, mises à jour… qui ont un fort impact sur la sécurité du site.

De plus, il existe une très grande communauté WORDPRESS qui vous aide à trouver des solutions à grand nombre de vos questions (recherches de plugins, bugs…) .

Vous l’avez donc compris pour renforcer la sécurité de votre site WordPress il faut mettre à jour son CMS et les plugins qui sont les principales causes de la vulnérabilité de votre site.

Pour prévenir les cyberattaques il faut dans un premier temps mettre à jour votre site WordPress et dans un second temps mettre en place et appliquer ces pratiques qui vous aideront à préserver votre site.

1) Mise à jour de votre site :

Mettre à jour correctement son site internet se fait en respectant quelques règles et étapes précises que vous pouvez retrouver dans notre article à ce sujet.

Voir le tuto « comment mettre à jour son site » .

2) Renforcer son mot de passe :

Une des premières choses à faire est de renforcer son mot de passe. On oubli le nom de son chien ou de son chat et on utilise un mot de passe complexe d’au moins une dizaine de caractères parmi lesquels des majuscules, minuscules et des chiffres.

Pour sécuriser vos accès et votre site web, vous pouvez utiliser ce générateur de mots de passe : https://www.motdepasse.xyz/

3) Installer un plugin pour prévenir les attaques par force brute :

Une attaque par force brute consiste simplement à tenter de se connecter à l’administration d’un site web (nom d’utilisateur + mot de passe) à de multiples reprises jusqu’à réussir à y entrer.

Il existe des dizaines de plugins vous permettant de bloquer ce genre d’attaques.

Nous vous proposons « Loginizer Security » un plugin gratuit qui bloquera l’adresse IP qui Aura tenté de trop nombreuses fois de se connecter à votre site web (tentatives de connexion excessives dues au piratage).

Vous avez 2 méthodes pour installer le plugin :

  • Télécharger le plugin via ce lien : https://fr.wordpress.org/plugins/loginizer/ 
Allez ensuite dans l’administration de votre site puis : 
extensions > Ajouter > Téléverser une extension 
Puis pour terminer, charger l’extension et activez-là.
  • Dans l’administration de votre site, allez directement dans extensions > Ajouter
    Dans la fenêtre à droite il y a un moteur de recherche, tapez le nom du plugin puis cliquer sur installer, puis activer.

Une fois l’installation terminée, rendez-vous sur l’onglet « loginizer security » dans la barre d’outils à gauche dans votre administration puis cliquez sur « Brute force ». Il ne vous reste maintenant plus qu’à paramétrer le nombre de tentative de connexion (par exemple 3), le délai de blocage, de blacklistage ou de whitelistage d’une IP est de votre choix.

Vous avez également la possibilité de voir la liste des erreurs de connexion que le plugin a bloqué.

4) Sauvegarder votre site

Autre notion importante dans la sauvegarde de vos données en cas de cyberattaques : Faire des sauvegardes de votre site.

C’est l’action la plus simple et pourtant, le plus souvent, la plus négligée.
À chaque fois que vous modifiez, mettez à jour votre site… faites une sauvegarde.
En faisant ceci régulièrement, vous vous assurez de ne pas perdre de contenus de votre site web. Si vous tenez un blog c’est vital ! Ainsi, si votre site subit une attaque vous pourrez réinstaller la dernière sauvegarde que vous avez effectué et vous n’aurez perdu aucun contenu.

Au sein de l’agence nous utilisons, pour nos sites et ceux de nos clients, le plugin backupbuddy. C’est un plugin payant très complet qui vous permet de sauvegarder facilement votre site, de paramétrer des sauvegardes automatiques pour ne pas avoir à y penser et de réinstaller la dernière version sauvegardée de votre site sur votre serveur en cas d’attaque.

Se renseigner sur backup buddy : https://ithemes.com/purchase/backupbuddy/
Voir le tuto « comment faire une sauvegarde de son site » .

5) Outils de monitoring

Enfin, si vous souhaitez compléter votre pack de « prévention des cyberattaques », vous pouvez investir dans un système de monitoring. Votre site est analysé jour et nuit par un outil qui vous alertera par mail si votre site est tombé. Dans votre espace vous pourrez voir le nombre de mises à jour à effectuer, la version de votre CMS, la date du dernier backup… Cet outil fonctionne aussi bien sur Joomla! que sur WordPress.

Découvrir l’outil : https://watchful.li